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Le bébé de Céline et Jean-Philippe

par | Juin 14, 2023 | Aujourd'hui au cab | 0 commentaires

Le bébé de Céline et Jean-Philippe

Ou comment la Déprogrammation Vibratoire a aidé à ce que le rêve devienne réalité

Le bébé que vous voyez sur l’échographie barbotte encore dans le ventre de sa maman puisque sa naissance est prévue aux alentours du 10 juillet 2023 🙂
Autant vous dire qu’il était attendu !
Quand Céline me contacte en juin 2022, elle est en perte de confiance : trois fausses couches en un an, trois espoirs déçus. Le cercle infernal du doute s’installe et distille son lot de tristesse, de découragement, de peurs.
Quelles sont les causes profondes de ce blocage du corps ? Qu’y a-t-il à comprendre ? Quelles émotions doivent être libérées pour faire tomber les obstacles qui empêchent Céline de devenir maman ? Que va révéler, dans ce cas spécifique, le Décodage Vibratoire® ?*
Le Syndrome du Jumeau Perdu (SJP).
Eh oui ! Un classique des cas d’infertilité ! Il semblerait, en effet, que les cas de grossesses gémellaires soient beaucoup plus fréquents qu’il n’y paraît. Dans nombre de cas, l’un des jumeaux disparaît si précocement qu’il n’est plus visible à la première échographie et la présence d’un seul fœtus dans l’imagerie ne laisse pas supposer qu’il y ait pu en avoir deux ou plus.
Seulement voilà : la perte de son jumeau est un véritable cataclysme émotionnel pour celui qui reste, aussi jeune soit-il dans son développement in utero : traumatisme de séparation, d’abandon, de rejet, colère, culpabilité d’être en vie ou même d’avoir tué l’autre soi-même, sentiment de solitude abyssale… Mais surtout, ce que je désigne par le terme « serment d’exclusivité ».ce « pacte » unit les jumeaux à tel point qu’il entraîne souvent, chez celui qui reste et pour sa vie durant, un refus d’être heureux, de s’accomplir, de vivre même, sans son autre. On identifie même un refus d’aimer qui que ce soit plus que son jumeau dont on peut imaginer les conséquences.
Tout cela se situe au niveau inconscient mais est facilement révélé par le décodage qui mesure l’amplitude vibratoire des émotions enfouies (j’aurai de nombreuses occasions de développer ce sujet et de présenter d’autres cas de SJP).
Que se passe-t-il dans le cas de Céline ?
Le Décodage Vibratoire indique qu’elle a probablement perdu sa jumelle monozygote à quatre semaines in utero. Même si, en conscience, elle souhaite plus que tout au monde devenir maman, le « serment d’exclusivité » va faire avorter (et c’est le cas de le dire) ses tentatives et écarter le « risque » qu’elle puisse aimer un autre être vivant plus que sa jumelle. Le corps se bloque et rejette alors toute concurrence.
Partant de là, nous avons déprogrammé cette émotion grâce à des techniques énergétiques spécifiques et deux mois plus tard, Céline démarrait une grossesse sereine et épanouie.
Certes, on peut arguer que ceci est le fruit du hasard, que l’on ne peut pas prouver que Céline ait bel et bien eu une jumelle perdue, que cette théorie du Jumeau a pu avoir un tel effet libérateur sur son esprit que son corps a lâché prise…
Et, en effet, cela est tout à fait possible. Je pense que tout thérapeute travaillant dans le subtil se doit de prendre de la distance par rapport aux informations révélées par des moyens non scientifiques et je prends toujours soin d’en aviser ceux qui me consultent.
Mais Céline n’est pas un cas isolé et force est de constater que nombre de femmes dites « infertiles » chez lesquelles j’ai décodé un SJP sont tombées enceintes très rapidement après la déprogrammation. Aujourd’hui, mon téléphone regorge de photos de ces « bébés » rescapés du SJP et j’attends avec impatience celle du petit karaté-kid qui s’entraîne dans le ventre de Céline 😉
*Pour mieux comprendre, voici les principes du Décodage Vibratoire :
En terme d’énergie, une émotion est une vibration. Toute émotion, qu’elle soit positive ou négative, laisse en nous une empreinte vibratoire. C’est comme si nous possédions un disque dur sur lequel tout était enregistré. Il est donc possible, grâce à des techniques de radiesthésie, de mesurer l’amplitude vibratoire d’une émotion passée dont nous n’avons pas même connaissance tant elle remonte loin.

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